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Nos chasses

Samedi 24 et dimanche 25 janvier 2015 

En visite chez Nakinou

Ce weekend, nous partions en expédition dans le Gard, à Ners et Cassagnoles exactement, invité par Nakinou un membre du forum de la FACCC. Le départ est fixé le vendredi après-midi. Après quelques péripethies, tous les chiens sont chargés dans le trafic de Marc (merci à lui pour le prêt du véhicule) : 9 beagles, 3 beagles harriers et 5 brunos du jura. On arrive le soir où un très beau gite nous attend.

 

Le samedi matin, on attaque sur la commune de Ners. On foule une grande enceinte très sale mais peu de trafic. Les chiens ont enfin connaissance, Djinie et Irca entame un rapprocher mais ce cochon ne s'est semble-t-il pas arrêté ici. L'après-midi, on attaque un flan de colline où des pieds ont été vu en contre bas. On lache les chiens sur les pieds, quelques récrits se font entendre mais les pieds ne rentrent pas au bois. On foule tout de même...en vain.

Derrière, on fait un petit morceau, les chiens lancent des chevreuils, on arrive tant bien que mal à contenir tout le monde, un joli brocard se fera tuer juste devant nous.

 

Le dimanche matin, sur la commune de Cassagnoles, on a lâché 15 chiens dans la grande coupe. Très rapidement les chiens ont connaissance et rentrent au fourré. Falco se met au ferme, les chiens arrivent puis lancent. Une jolie menée se met en place, le cochon se fait bien tourner. Les 2 "J" Janka et Jason sont assez vite décrochés ainsi que Guess. On arrive à remettre Guess et Jason qui rallient. Lorsque le cochon déboise et traverse la route, il a 14 chiens derrière lui qui le presse. Il se fait tirer et louper. Le temps que j'arrive au Gardon, 7 chiens ont traversé je récupère les 7 autres pour les relâcher. Clément suit la chasse qui fait une grande boucle puis revient pratiquement au même endroit où il se fera tuer. Les derniers chiens restant sur la menée sont exténués et n'arrivent pas à traverser une dernière fois pour arriver sur la mort. Seul Falco le fera...celui qui l'avait levé ! En tout, ce joli male de 55kg aura traversé 4 fois le Gardon : 2 fois le Gardon d'Ales et 2 fois le Gardon d'Anduze.

On a été obligé de prendre la température du Gardon pour aller chercher Eros de l'autre coté de la rive, je peut vous garantir qu'elle est pas chaude. Les chaussures sèchent encore dans la chaufferie !

Le temps qu'on récupère tout le monde et qu'on mange, on décide de ne pas relâcher l'après midi, 4h30 de route nous attendent. Mais promis, on reviendra !

 

Rémi

 

Dimanche 18 janvier

Il court, il court...le capucin

Dimanche après midi, Claude me propose une chasse au baton à Ronno. On lache 8 chiens : 4 chiens à Claude, 3 anglos et un briquet et 4 chiens à nous : Djinie, Galak, Endy et Janka. Très rapidement, les chiens se récrient dans un pré. Malgré le dégel, la voie à l'air excellente. Le rapprocher avance, passe de pré en pré puis rentre dans une petite plantation de douglas. Là, 2 chevreuils giclent au nez des chiens qui resteront sages : un seul "Arrête" suffira. On reprend notre quête, le rapprocher rentre dans un plus grand bois au dessus du lac des sapins et se fait de plus en plus criant. Le lièvre démarre au nez et à la barbe d'hermine qui le course à la descente. Au même moment, les 7 autres chiens emmènent une autre voie, on n'arrive pas à faire rallier dommage...Surtout que ce pied ne donnera rien. on rappelle les chiens pour les remettre sur ce premier lièvre, les chiens se récrient, est-ce un nouveau rapprocher ou l'odeur du premier lièvre lancé ? On ne sera jamais car rapidement dans un petit bosquet un second lièvre est lancé par les chiens. Cette fois, les 7 chiens sont partis...même 8 puisque Hermine qui a laissé son premier lièvre, vient prêter main forte au reste de la meute. Un belle menée s'engage, très bruyante. Au premier défaut, on tarde à arriver, du coup Djinie et Endy abandonne. Un forlonger se produit pendant quelques minutes puis la chasse reprend avec 6 chiens coupant meme la trajectoire de 2 chevreuils sans changer de bête. Après quelques minutes, au défaut suivant, les chiens reviennent, on en reste là. Bizarrement, la voie qui paraissait excellente au rapprocher était très délicate à la menée. Une belle après-midi tout de même dans un territoire magnifique avec une belle population de lièvre...Ca fait plaisir !

 

Rémi

 

Samedi 10 Janvier

Un dernier adieu

Aujourd'hui, pas de chasse mais simplement une grosse pensée Ã  mon Boobees (Rémi). Il y a un mois mon papy Félix nous quittait. Hier c'est au tour du tien dans un tragique accident de la route. Si j'écris ce petit texte aujourd'hui c'est pour rendre un hommage à nos deux grand-pères qui nous ont fait découvrir le monde de la chasse. Sans eux nous ne serions sûrement pas là aujourd'hui pour vivre notre passion avec une telle envie. Je suis sûr que de là-haut ils  vont nous regarder et nous aider dans les moments difficiles que ce soit pour la chasse ou dans la vie de tous les jours. Ils seront sûrement très fiers de nous voir partir avec tous nos beagles et nous regarder chasser pendant des heures. Je pense très fort à toute ta famille et à toi bien-sûr dans ce moment difficile de la vie.

Gros bisous et au revoir " GROS PAPY".

 

Clément

 

Dimanche 4 Janvier

Mission commando chez Nexter

Claude nous propose de le remplacer  pour une battue au renard chez Nexter anciennement Giat industrie.

 

80 hectares clôt juste pour Tanguy, Rémi ,moi et nos compagnons.

 

Aujourd'hui, il ne manque qu’Ivoire toujours en chaleur et Irka suite à la blessure de la veille. Nous arrivons Ã  8h au rendez-vous et sommes accueillis par Jo le président de la chasse. Après avoir rempli le carnet de battue et donné les consignes nous pouvons attaquer. Il est 9h nous foulons la première enceinte. Au bout de quelques mètres, 4 chevreuils se lèvent sur notre droite avec Rem, les chiens ne les verront pas. Rémi continue d'avancer les chiens donnent quelques coups de voix. Un chevreuil est annoncé : à la voix et au fouet Rémi arrête net les chiens. Seul Falco aura besoin d'un petit rappel Ã  l'ordre grâce au collier électrique. Nous continuons, 2 autres chevreuils démarrent devant les chiens. Rémi emploiera la même manière. Cette fois, tous les chiens resteront sous le fouet. La fin de la première traque pourra être sonnée sans avoir levé de renard.

 

Nous commençons la 2ème partie Djinie commence à rapprocher avec tous les chiens derrière elle. Un brocard se lève, je suis à 5 mètres, le seul mot "arrête" coupe immédiatement la meute. Falco et Erros longe le fourré, un petit chevreuil gicle devant eux. Tanguy à l'affût arrive à stopper Falco encore une fois juste à la voix. Seul Erros qui doit commencer à se demander pourquoi il est là démarre et ne pourra être arrêté.J'avance de 50 mètres et là Falco hurle. Tous les chiens le suivent, au vue des récris, je me dis immédiatement que Mr Goupil est passé par là. Je retrouve Rémi. La ligne annonce le passage des chevreuils, nous restons calme et  heureusement d’ailleurs car les chiens ne sont pas sur les bêtes qui ont traversé. Nous arrivons aux chiens : Endy prend un pied, suivi de Falco, Gauloise et Edelweiss puis plus rien. Djinie et Galak se récrient devant Tanguy et moi puis ils traversent une petite mare; l'odeur me monte au nez il s'agit bien d'un renard mais les chiens perdent le pied. Au bout de quelques minutes je demande Ã  Rémi s'il a vu mes chiens, il me répond que non. Je décide de regarder le gps. La télécommande m'annonce une distance de 50 mètres… bizarre  !!! Je prends cette direction. Arrivé à l'endroit, je ne vois pas de chiens.... Je comprends vite qu'ils sont sous terre. Je trouve une entrée avec Tanguy. J'appelle les chiens Falco et Edelweiss sortent. Tanguy les attache. Rémi en fait de même avec les siens. Pas de réponse des 2 autres chiennes!!! Je passe de l'autre côté du dôme je trouve un 2ème trou. Je vois sortir Gauloise et Endy qui l'a suit. Rémi les attache mais le renard est ressorti. Les chiens hurlent, nous détachons tout le monde et là, une magnifique menée se met en place. Rémi suit la chasse, Falco mène le train, pendant que Tanguy et moi restons sur les trous. Au bout de 500m les chiens seront repris devant le grillage de l’enceinte. Maître Goupil ayant réussi à passer à travers les mailles…dommage ! Il est 11h15, nous décidons de sonner la fin.

 

Une très bonne matinée où nous avons réussi à bien gérer les chiens sur les chevreuils. L'apprentissage continu, les efforts commencent à payer !

                                                                                                                                                                                                                                                                  Clément

 

Samedi 3 Janvier

3h40 de menée

Ce samedi nous étions invité par Jean Charles au Domaine du Coude à Loddes. Tous les chiens sont chargés dans le pick-up sauf Ivoire forfait pour chaleur. Après café et casse-croute plus que copieux, on lâche le long de la route. Assez rapidement un rapproché se met en place. Pas sur de notre coup, on suit de près sans trop exiter les chiens. Finalement, les chiens sont au ferme c'est bon, c'est bien un sanglier, on peut lacher les chiens encore couplés. La chasse se scinde en 2 : 5 chiens d'un coté, 4 de l'autre. On arrive assez vite à faire rallier tous les chiens sur la même bête et s'en suit une très belle chasse ponctuée par de nombreux fermes et peu de défaut. Cette belle laie se fera bien chasser, fera plusieurs fois le tour de parc se jouant avec habilité des postés. Naturellement, on bout de plusieurs heures de chasse, les fermes étaient de plus en plus rapprochés, on voyait bien que notre bête de chasse commencait à faiblir mais pas moyen de la faire tirer. Vers le poste 1, un ferme roulant durera de longues minutes avant que Nico puisse enfin tirer notre animal, le blessant à la cuisse. Le sanglier sera servi à l'épieu 500 mètres plus loin dans le roncier au dessus de l'étang. Ne voulant pas rendre les armes, il ouvrira même surperficiellement Irka. Un magnifique travail des chiens qui sont restés ameutés pendant plus de 3h40 de chasse. Ya t'il eu change à un moment donné ? Peut-être...en tout état de cause ce sanglier était à bout de force et a mérité les honneurs.

                                                                                                                                                                                                                                                                   Rémi

 

Dimanche 21 Décembre

Une belle après-midi

Après un samedi "sans pied" à Ambierle, je pars à la billebaude à Lagresle le dimanche après midi. Les 5 chiens sont lâchés dans la terre vers chez Cédric B. Les chiens se défoulent et se font distraire par une volée de faisannes. Au bois quelques recrits, j'ai même l'honneur d'écouté Janka que je n'avais encore pas écouté chasser. Vu la trajectoire de sortie, il s'agit probablement des chevreuils, je coupe les chiens. Je continue dans les charmes et les chiens démarrent. Malheureusement, je ne vois pas ce qui est devant. Je laisse faire et la chasse prend très vite un grand partie : la Madone, Pont-Trambouze puis reviens sur Lagresle. Je profite d'un defaut pour récupérer tout le monde : Certainement les chevreuils : Aie ! En traversant la coupe de la Madone, je découvre des pieds de cochons frais. Je mets les chiens dessus qui ont connaissance. Il y a même un très gros pied et d'autres plus petits. Les pieds sont dans tous les sens et les chiens ont du mal à déméler. Je fais le tour du bois pour essayer de trouver le défilé mais en foulant l'enceinte, je lève un lièvre. Chose assez rare, je le fais chasser. Les chiens empaument bien la voie. La chasse traverse Villeret puis va en direction de Piat. Le lièvre boucle et refait chemin inverse en empruntant pratiquement le même trajet. Je suis sur le chemin de la madone, j'écoute la chasse qui semble se rapprocher quand ma mère qui m'accompagnait aperçoit les oreilles du lièvre. On laisse faire quelques instants et on voit arriver les chiens bien en paquet sur le pied. Seul Eros à lacher du terrain, il arrivera avec un peu de retard. La chasse retraverse la Madone, saute la route et prend les prés jusque derrière Grenier où les chiens sont en défaut. Temps que j'arrive sur place, il fait quasiment nuit noire. Je récupère les chiens et pourra même tester la fonction "light collar" des TT10 : Efficace dans la nuit ! Les chiens auront tenu le lièvre environ 1h15, je suis très satisfait. Ca manquait juste un peu de "criant" au fur et à mesure que la fatigue montait.

 

Rémi

 

Dimanche 14 Décembre

Rien d'extraordinaire

Les sangliers étants présents sur la commune de Lagresle, une battue est organisée le dimanche matin. Après un rapide tour des pieds, on décide de faire le bois de traizette. On lâche 7 chiens : Irka, Janka, Ivoire, Falco, Edelweiss, Gauloise et Eros. On ne lève rien dans le premier fourré. Dans le deuxième, les chiens travaillent bien et sortent du fourré. Je suis à la coulée, la bête a du se dérober. Aucune trace visible, je pense à un renard, on recupère les chiens. Sur le plateau, deux chevreuils giclent devant Clément. On canalise les chiens, seul Falco sera rappelé à l'ordre. Les chevreuils sont tirés et manqués par les postés. Dans les têtes de chênes versés, les sangliers ont laissé des traces de leur passage récent mais ne sont plus là.

 

On fait ensuite le bois du baly. Les chiens prendront tardivement le pied d'un lièvre qui s'était dérobé longtemps avant. On laisse chasser un moment sans que cela n'aboutisse à grand chose. Une matinée à ne pas retenir dans les anales.

 

Rémi

 

Dimanche 7 décembre

capot...

J'attaque seul à Lagresle à la bilebaude. Les 5 chiens sont lâchés dans les collines de Sattendras avec la ferme intention de faire courir un lièvre où un renard. Les premiers récris ne tardent pas à se faire entendre proche d'une ferme mais trop près de la ferme, ca doit être un félin...je rappelle. Derrière, ca quête, ca quête mais pas grand chose à se mettre sous la truffe, les chiens sont appliqués mais ne trouveront pas vraiment de voie exploitable pendant presque 3 heures. retour au 4*4.

L'après-midi, Tanguy m'a rejoint, Clément est au foot. Je laisse Janka au chenil, elle s'est déjà bien dépensée ce matin. On fait la Tournelle mais le scénario est le même : rien...le désert même. Les chiens ne sont pas récompensés, ils ont bien travaillé au fourré mais si y'a rien...y'a rien ! Le constat devient inquiétant sur notre commune, il devient de plus en plus difficile de faire chasser les chiens.

Rémi

 

 

Samedi 6 décembre

Du pied à Ambierle

Je monte Ã  Ambierle seul, Rémi joue le soir Ã  l'extérieur. Je monte avec Falco, Endy, Irka, et Edelweiss qui fait son retour depuis sa blessure du 11 novembre dans le Gard. Je prend comme d'habitude Irka pour faire le pied sur le secteur de la Croix Noailly. Je commence Ã  8h30 sur la gauche de la route qui va a Saint Bonnet Des Cars pendant un peu plus d'une heure : aucune piste?. Je saute la route et me dirige du côté de l'antenne de relais, là je trouve quelques coups de nez dans les feuilles, la chienne prend bien mais ça passe chez les voisins. Je continue, je sors du bois, passe dans le pré, fais 300 mètres le long des barrages la chienne sent les fils de fer. Je trouve de la boue et du poil je regarde dans l'herbe et je vois le passage des sangliers. Irka travaille la voie, elle commence Ã  donner. J'arrive dans un joli fourré et décide de faire le tour car il y a vraiment de quoi les remiser. J'arrive dans le pré en dessous, Irka prend direct la sortie, je descend toute la colline je trouve quelques coups de nez et une souche déracinée. Je vois un joli pied la chienne m'emmène jusqu'à une petite route communale elle hésite mais descend quand même le talu je la suis. Je vois qu'elle est un peu perdue, je décide de faire demi tour et de retourner jusqu'à la souche arrachée. Irka reprend ses recherches, cette fois elle s'écarte d'une vingtaine de mètres et je retrouve les traces dans l herbe direction le chemin. La coulée est bien marquée, je traverse le chemin je me trouve devant une petite bande de buisson noir je prend la décision de le contourner. J'arrive dans le pré du bas la chienne évente et la.... Vraoouuum!!!!!ça démarre. Je ne bouge plus même si au fond de moi je sais qu'il ne va pas s'arrêter. Je refais le tour et trouve les pieds du gros sanglier qui marque sur le goudron. La chienne reprend immédiatement je suis,elle me l'emmène jusque sur la chasse voisine je suis dégouté! Je reprends la direction de la voiture, je passe par le chemin goudronné, Irka me marque une nouvelle fois une coulée je vais suivre cette piste. Je vois un joli pied et des petits mais elle rentre encore sur la chasse voisine je retourne à la voiture il est 11h30 je suis déçu mais vraiment très content du travail d'Irka ; quel plaisir d'avoir une chienne si jeune et si douée. Mes collègues n'ont pas grand chose, ils décident de faire un morceau aux chevreuils les chiens ne chasseront pas aujourd'hui .

 

Clément

 

Weekend du 22, 23 et 24 novembre

Weekend en Saône et Loire

Samedi matin, c'est parti pour le pied à Lagresle. On fait tout le secteur limite Pont Trambouze et Bourg de Thizy. Clément avec Irka et moi avec Djinie. Quelques pieds mais rien de remisé. Un gros weekend se prépare, on décide de ne pas lacher.

 

Dimanche matin, départ pour la Motte Saint Jean. On charge 8 chiens dans le L200, Gauloise et Edelweiss sont encore convalescentes. Pour commencer, on remercie toute l'équipe de chasse de la Motte et tout particulièrement son président Joël Fournal et notre "guide" Eric Berland pour l'accueil qu'ils nous ont réservé. Pas vraiment de pied, on lâche à la billebaude dans un grand bois. Les chiens sont appliqués et sages mais rien ne sera levé. L'après midi, on fait le Sarroux, coin assez sale en bordure de ruisseaux. Les chiens travaillent bien et lancent un court instant, vu la physionomie de la lancée, ca doit certainement être un renard ou une sauvagine. Ensuite un renard est tiré, on met les chiens sur la voix mais celui-ci, certainement blessé, se terre immédiatement. Quelques chiens un peu trop hardis, s'aventuremont un instant "au trou"... Derrière, rien ne sera lancé.

 

La fin de journée sera marquée par la visite du chenil de Joël Fournal : 40 poitevins aux ordres...juste magnifique !

 

Le lundi, forêt de Germigny invité par Marc Forest. En faisant le pied, nous dérangeons une petite compagnie de sangliers qui était baugée sous une tête de chêne à quelques mètres de l'allée. Nous attaquerons sur ce pied. Les 8 chiens sont emmenés en laisse et lachés sur le pied. Le "rapproché" est très criant et la compagnie très vite lancée mais la chasse saute immédiatement sur le territoire voisin. Après accord, on suit les chiens qui font chasser une bête rousse dans un épais. Seuls Eros et Janka ont laché cette chasse, peut etre pour une autre bête. A notre arrivée dans l'épais, la chasse prend un grand parti et détale en direction de la Loire. Falco est coupé à la route par des chasseurs locaux, Irka et Endy ne déboisent pas. Djinie, Galak et Ivoire sont récupérés sur les bords de Loire après 2heures de chasse toujours derrière ce petit cochon qui s'était fraillé un passage pour rentrer dans un ancien parc à sanglier. Malgré que l'on n'est pas pu faire tirer ces cochons, nous sommes content du travail des chiens qui ont chassé ameuté pendant un grand moment.

 

Un grand merci à Marc Forest pour cette belle journée et le très bon accueil qu'il nous a été réservé.

Dimanche 9 et lundi 10 novembre 2014

Le Gard...enfin !

Comme tous les ans à la même époque, nous partons chasser le sanglier 2 jours dans le domaine de chasse de Fontcouverte. Là-bas, les cochons ont la réputation d'être parfois dangereux, on va en savoir quelque chose. Dimanche matin, on découple toute la meute avec les brunos de phiphi. Le rapprocher n'est pas long et le lancer est très criant. Très vite, les chiens sont au ferme sur une grosse laie qui ne semble pas vraiment décidée à coopérer. Refusant de courir, elle repousse les chiens un à un. Clément, en terrain hostile, essaie de la servir sans réussite. Elle redémarre jusqu'à la rivière. Elle n'en peut plus, épuisée, je la servirai dans la rivière à l'épieu. Déjà quelques bobos et un peu de couture en prévision. On relâche et une nouvelle chasse se reforme immédiatement, la chasse est belle et bien ameutée. Je coupe juste Ivoire qui chasse un autre cochon pour la rameuter. La chasse va jusqu'à la rivière puis tombe en défaut. On aide les chiens et la chasse reprend. Sur le même cochon ? pas sur... En tout cas c'est un beau ragot, Gauloise et Edelweiss en feront les frais. La chasse continuera encore un bon moment puis on stoppera les chiens qui avaient déjà bien baisser le rythme. La pluie commençant Ã  attaquer le moral des troupes.

Le lendemain on relache en même temps que les anglos. Pareil, un court rapprocher puis c'est le lancer. Très vite, plusieurs chasses se forment. C'est un peu le fouilli. Petit à petit, on arrive à rameuter et on tombe sur un véritable "troupeau" de sangliers. Aussi nombreux que les chiens, ils font face. A force de persévérence, le troupeau diminue. Malheureusement pour lui, les chiens surexcités "coiffent" un petit cochon qui partait dans le mauvais sens, leur travail est tout de même récompensé. Après cette prise, la chasse reprend et un joli cochon se fera tuer devant une huitaine de chiens dont Janka qui arrivera sur sa première mort à 6 mois. Sans plus attendre, tout le lot de chiens s'ameute et s'entend à merveille derrière un petit sanglier d'une quarantaine de kilos. La menée est vive et sonore bien emmenée par les anglos de Thierry et Bernard, les beagles derrières. Les chiens sont groupés dans un mouchoir de poche et se font de plus en plus pressant. La rivière, en juge de paix, sauve ce cochon qui aurait sans doute mérité un bel hallali.

Ouverture du lièvre, j’ai invité Clément à Lagresle. Il fait assez lourd et le vent s’est levé…pas les meilleures conditions. On lâche 7 chiens Djinie, Galak, Ivoire et Janka coté Gachon, Endy, Falco et Irka coté Moncorger. On attaque vers l’ancien remblai direction la Croix Mulsant mais on fait vite demi-tour face à des vaches et leur propriétaire pas très accueillants. On quête en direction de la Tournelle, les chiens travaillent, un rapproché se met en place jusqu’au bois. Les chiens lancent mais c’est deux chevreuils qui sont devant les chiens, Clément coupe immédiatement la chasse. On reprend notre quête, traverse le bois, les prés, les champs, quelques récris mais rien de bien concret. Les chiens et leurs maitres se laissent même perturber par quelques faisans qui se font lapiner dans les maïs à la croix de Bussy ; de plus il commence à pleuvoir. Sur le retour, dans les joncs, les chiens reprennent connaissance d’une voie, Galak se récrie, on reste prudent car les chevreuils lancés précédemment sont passés par là. On continue d’avancer puis le lièvre me gicle devant les pieds…Quel bonheur de voir partir le capucin devant tous les chiens qui empaument la voie. La chasse prend la direction des eaux. Avec le vent, les défauts sont nombreux et l’allure n’est pas très élevée. Le lièvre ira perdre les chiens dans le troupeau de charolaise qui nous avait fait rebrousser chemin en début de matinée. Clément, plus en jambe que moi récupère les chiens. Retour au 4*4 tout de même soulagés d’avoir réussi à lever.

L’après-midi, on laisse Ivoire, Janka et Irka au chenil remplacées par Eros et Gauloise. On attaque au Bey. Après une grosse averse pendant midi, il fait beau mais toujours beaucoup de vent. Dans les chênes, les chiens lancent mais on n’arrive pas à voir ce qui est devant les chiens. On récupère les chiens éparpillés dans le bois peu de temps après. Au même moment, un lièvre me démarre dans les bottes. Endy prend le pied, rallie Djinie puis Gauloise. La chasse prend la direction de l’ancien fourré. Je suis et Clément part récupérer les autres. La chasse, en forlonger,  avancent doucement dans le bois puis prend la direction de la maison Montet où le lièvre a semble-t-il traversé le jardin. Je coupe les chiens, Clément arrive avec le reste du lot. On repart en quête mais on n’arrivera pas à retrouver la moindre voie. On recharge les chiens. Après une journée où on a tout de même parcouru pas mal de chemin, les lièvres ne semblent pas être en très grand nombre. Certes la voie n’est pas très bonne mais le constat est là : seulement 2 lièvres levés.

 

Dimanche 12 octobre 2014

Du lièvre mais pas trop

Samedi 11 octobre 2014

Pas terrible tout ça

Pas grand-chose à se mettre sous la dent : Belle après-midi d’automne, il fait même un peu trop chaud. Je lâche à la madone 3 chiens : Eros, pas sorti depuis le Gard, Ivoire et Djinie. Je foule les prés autour de la madone sans trouver le moindre bout de voie. Je rentre au bois, laisse travailler les chiens…rien. Dans la coupe, Djinie se récrie sur des pieds de chevreuils, ça s’agite mais je tiens les chiens. Je rentre dans la partie de gauche, fait tout le bois mais pas le moindre oreillard dans les parages. En revenant vers le réservoir, une petite chèvre se lève à 15 mètres de moi. Je prends Djinie en laisse, laisse faire Ivoire et Eros, ce dernier étant équipé d’un collier électrique. Pas de bol, le collier ne fonctionne pas, ils partent après, je n’arrive pas à les couper à la voix. Ils ne tiendront pas très longtemps. Eros, pas très en forme lâchera même le premier. Je récupère les chiens vers chez Cédric Berchoux. Fin de chasse, un peu énervé contre les chiens…et moi-même. C’est décidé faut que j’investisse dans du nouveau matériel.

Dimanche 5 octobre 2014

Le goupil a eu chaud

J’ai invité Clément à Lagresle. Tanguy est également de la partie. On lâche 7 chiens en dessous du lotissement : Djinie, Galak, Ivoire, Endy, Falco, Gauloise et Irka. Eros et Janka sont restés au Chenil. Edelweiss est en chaleur. Galak prend immédiatement connaissance d’une voie en dessous du balltrap. Les chiens travaillent bien dans le bois de sapins puis rentrent dans la coupe du Dan. Irka se récrie puis c’est le lancer. Tous les chiens groupés, je cours pour voir ce qui sort de la coupe. J’aperçois le renard se défiler et prendre la direction de la Madone. Je n’ai pas le temps de tirer. La menée est magnifique, on en prend plein les oreilles. Le renard se fait battre quelques instants dans le fourré du Marcel puis les chiens perdent le pied, on ne sait pas trop pourquoi. On rappelle les chiens et on repart en quête en direction de l’étang. Quelques récris mais rien d’exploitable surtout que la pluie commence à tomber fort ! Le bord de la route de la Belle, les chiens travaillent bien puis lancent, la menée se finira dans les maisons, ça devait être un animal domestique… la quête reprend, un nouvel animal est lancé mais on n’arrive pas à identifier. Les chiens sont très vite en défaut, on n’arrivera pas à le relever. Malgré la pluie de plus en plus forte, on continue notre quête sans succès. Dans le dernier petit bois, Clément aperçoit une belle chèvre se dérober. Tous les chiens étant équipé d’un collier de dressage, c’est le bon moment pour travailler la créance. Irka et Djinie commence à se récrier, les chiens en paquet sortent du bois où Clément a vu la chèvre. Les chiens sont stoppés à la voix, seul Galak, un peu trop pressant se fera rappeler à l’ordre au collier. Retour aux voitures…trempés mais en ayant tout de même passés une bonne matinée.

 

 

Samedi 4 octobre 2014

La jeunesse progresse...

Après un long mois sans chasse à cause d’une nouvelle blessure au basket, je prends un moment pour aller faire un petit tour ce samedi après-midi. Place à la jeunesse, Janka, pour sa première sortie, accompagne Galak et Ivoire. Il fait très beau et chaud, le but est surtout de retrouver quelques sensations et de voir travailler les plus jeunes sans leurs mentors.  J’attaque (enfin je lâche, le fusil est laissé au 4*4) en dessous de chez Foivard. Le pré est rempli de vaches, je me dirige sur la droite direction les Chavannes. Les chiens quêtent sans rencontrer le moindre bout de voie. Je monte jusqu’au bois de la Madone. Dans les châtaigniers, Galak prend connaissance d’une voie et commence à se récrier assisté par Ivoire et Janka. Le rapprocher monte en direction de la nouvelle coupe. Les chiens travaillent, le lièvre gicle au nez des chiens et prend la descente comme une bombe avec Galak et Ivoire à ses trousses. Janka reste avec moi. La chasse traverse la route puis prend la direction du Bey à un rythme soutenu. Au premier défaut, sur le chemin du Bey, les chiens perdent. J’aide tant bien que mal les chiens à retrouver le pied mais le défaut ne sera pas relevé. Sous cette chaleur, la voie semble difficile et les chiens ont très chaud. Retour à la voiture.

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